Les designers adoptent une approche méthodique pour identifier les « bonnes questions à se poser ». Cela évite de concevoir de superbes solutions…dont personne n’a besoin et tout le monde se moque !

Car oui, il arrive fréquemment que les entreprises s’égarent parce qu’elles ont mal compris, ou interprété le problème initial. Avec pour conséquences non-neutre, de gaspiller leurs énergies à financer des produits/services qui n’ont ni utilité, ni avenir commercial.

Exaltim propose des méthodes sous forme d’ateliers collaboratifs (méthode Design Thinking) qui facilitent l’émergence de questions essentielles à se poser.

Comprendre le contexte, l’environnement, les utilisateurs et l’analyse de données, pour comprendre les problèmes sous-jacents et concevoir des solutions efficaces.

Un bon design ne se contente pas de séduire l’œil ; il facilite aussi l’interaction ! Souvent associés au développement de solutions numériques (web, mais aussi toutes les interfaces digitales que l’on peut utiliser dans l’espace public ou privé), le designer UX (User Experience) travaille pour comprendre les besoins, les comportements et les frustrations des utilisateurs afin de créer des interfaces intuitives et fluides. L’objectif est de rendre les produits non seulement utilisables, mais aussi agréables, rapidement compréhensible.

Un site web bien conçu permet à l’utilisateur de trouver rapidement l’information recherchée, une application mobile intuitive améliore la productivité, et un produit bien pensé offre une expérience utilisateur sans friction

C’est un processus de travail parfait pour imaginer et anticiper les besoins de demain ; nouveaux produits, services, mode d’utilisation et systèmes. En bureau R&D, le designer est complémentaire du travail de l’ingénieur pour produire des innovations ! En effet quand l’ingénieur conçoit, il se limite aux champs du connu, parce que sa créativité est bornée à un process un conception inféodé aux connaissances technologiques et scientifiques. C’est un mode de pensée fermé sur ce qui est visible et faisable à l’instant « T ».

Le Designer lui s’exonère de toutes contraintes de faisabilité immédiate. Il transcende sa réflexion pour étendre ses recherches hors-champs du visible. Ce mode de pensée sans limite est dirigé par la créativité pure. Le produit de ces réflexions poussées à l’extrême, souvent utopiques et sans intérêt de productivité immédiat, est utilisé ensuite pour concevoir des solutions innovantes, jusqu’à lors invisible du monde des connaissances académiques.

Les éléments visuels tels que les logos, graphismes, packaging, mises en page de sites web…transmettent des messages de manière claire et persuasive. Le design n’est pas fait pour produire du « beau subjectif » mais pour renforcer le sens objectif d’un message et plus encore la stratégie de toute l’entreprise.
Le Designer doit maîtriser et renforcer le sens de la narration, notamment par la sémiologie. (voir article précédent) Un design bien pensé en amont et bien exécuté doit affirmer l’identité d’une marque, séduire un consommateur, captiver l’attention et engager le public.

C’est “design”, si l’esthétique répond à une intention porteuse de sens et soutien la vocation de l’outil de communication créé. Si l’esthétique graphique ne répond à aucune intention spécifique, c’est juste de la décoration !

Il tend à supprimer les silos de compétences et joue un rôle facilitateur au sein des instances décisionnelles pour permettre à l’entreprise une vision globale de ses enjeux et challenges à venir.
Le designer participe à l’élaboration de stratégies produites en collaborant avec les départements marketing, R&D, et toutes les parties prenantes utiles. Il aide à aligner les objectifs de l’entreprise avec les besoins des utilisateurs, garantissant ainsi que les produits/services développés répondent aux attentes du marché.

Le design stratégique permet de prendre des décisions éclairées sur les investissements en innovation et sur le positionnement des produits.